Les visuels réalisés  pour l’album LUX d’EZ3kiel se classent en deux catégories.
 
Les portraits 
Quatre propositions autour d’une silhouette androgyne où la lumière et ses déclinaisons viennent scénariser l’image. Comme pour la musique du groupe il s’agit d’articuler et d’harmoniser organique et synthétique, courbes et fractures, douceur et étrangeté. Les insectes ont été choisis pour donner corps à cette lumière, ainsi que l’utilisation d’un premier plan translucide dont les sections introduisent le travail de découpe des paysages de l’intérieur de la pochette.
 
Les paysages fracturés
Commencée en 2012 pour illustrer le morceau Exebecce lors de la tournée Extended, cette série d’une dizaine d’images n’avait jamais été finalisée, ni diffusée en dehors des concerts. Le propos de départ était d’associer dans le cadre bucolique des jardins imaginaires d’Exebecce des êtres fantomatiques à des animaux dans une chorégraphie surréaliste, poétique et parfois teintée de cruauté. Pour le projet LUX, de nouvelles lignes directrices sont venues compléter les tableaux. Les personnages sont devenus luminescents, les paysages nocturnes, et des aberrations topographiques sont venues découper ces nouveaux jardins.
 
 
 
The visuals drawn up for the LUX album by EZ3kiel can be divided up into two categories
 
Portraits
Light and ranges of light stage and glorify the picture of an androgynous figure developed into four features. As EZ3kiel shape their music, the visuals hinge on and match organic matter with synthetic, curves with fractures, softness with oddness. The insects were aimed to embody this light, as well as the use of a translucent foreground whose sections introduce the work of landscapes’ cutouts within the disc sleeve.
 
Fractured landscapes
This series of ten pictures that had been developed in 2012 in order to illustrate the Exebecce track performed during the Extended tour had never been completed nor released outside live. The bucolic setting of Exebecce’s imaginary gardens was originally meant to connect spectral beings with animals in a poetic and sometimes cruelty-tinged surrealist choreography. New guiding lines have come and finish off the scenes. The characters have then become luminescent and the landscapes have shifted to nocturnal while topographical aberrations have cut out these new gardens.
 
 
 
 
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